KOB revient en 2025 avec Heavy Lies, un single qui ne s’écoute pas… il s’encaisse. Dès les premières secondes, le groupe montre qu’il n’a rien perdu de son instinct : riffs acérés, batterie qui cogne et chant qui tranche l’air comme une lame bien affûtée. Pas de fioritures, pas d’artifices — juste du heavy metal pur, assumé, frontal.

Un shoot d’adrénaline old-school
Le morceau renoue avec l’âge d’or du heavy metal tout en gardant une patate moderne. Les guitares s’affrontent en duel permanent, la basse martèle un groove nerveux et le chant de Stéphane Graziani en impose, quelque part entre la rage maîtrisée et la puissance pleine voix. C’est carré, musclé, taillé pour la scène.
KOB remet les pendules à l’heure
Après un passage plus discret, le groupe revient avec la ferme intention de rappeler pourquoi il compte dans le paysage metal. Heavy Lies, c’est leur carte de visite : un son massif, une attitude sans compromis et une énergie qui sent la sueur, le travail, et la passion du metal à l’ancienne. Un retour qui ne demande pas la permission pour faire du bruit.
Un avant-goût qui donne faim
Si When the Axes Fall ressemble à ce single, les fans peuvent se préparer à un album comme on n’en fait plus : direct, solide, et terriblement efficace. Heavy Lies annonce la couleur — et elle est sombre, métallique, brûlante.


